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Le calme avant la tempête
Même si tout ne fut pas de tout repos, cette 2ème semaine en terre maltaise faisait écho à la précédente. Le temps était encore propice à la prise de marques alors que ce lundi 31 août sonne officiellement la fin de la formation.
Quelques réglages restent encore à peaufiner, et c’est normal, mais nul doute que les automatismes viendront assez vite. Et puis, avant d’être jetés dans le grand bain, on a pu faire un tour dans le petit bassin, histoire de prendre la température, en répondant à nos premiers mails et chats live.
Malgré tout, je soupçonne l’entreprise d’avoir voulu tester, par 2 fois, ma résistance et ma gestion du tilt. D’abord, dans mon adresse mail professionnelle, je ne m’appelle pas Jonas mais Jaunas. Ensuite, chaque jour, pour me rendre sur le plateau, je dois baisser le regard pour éviter d’apercevoir un poster de Zlatan. Et encore, je fais l’impasse sur la fois où nous avons dû aller chercher de l’information sur le site de Bell.ca.
Malte, ce n’est pas que le boulot
Si Lisbonne a son Bairro Alto, Malte n’a rien a lui envier avec Paceville. Animé chaque soir, j’ai profité de mes 2 weekends off pour faire plus ample connaissance avec le démon local. Surtout, ces soirées (nuits) m’ont permis de rencontrer quelques collègues avant l’entrée sur le plateau.
Il me tarde de pouvoir y retourner, dans quelques semaines, quand l’été sera arrivé à son terme et que les touristes auront commencé à déserter un peu les lieux souvent trop plein. Parce qu’été ou pas été, Paceville reste, j’en suis certain, le lieu incontournable des soirées locales.
Plus sain, j’ai participé lundi dernier à mon 1er entrainement de handball ici. C’est donc avec La Salle Handball, quadruple champion de Malte en titre, que je jouerai cette saison en division 1. Avec seulement 2 championnats, je ne peux même pas prendre la grosse tête.
Et mince, il est l'heure. Let's go !
Une salle pour tout un pays :)